24 févr. 2006

DOWN IN THE VALLEY

Avec sa tête de petit malin, Edward Norton pourrait jouer dans une adaptation du bottin que ce serait agréable quand même. Ca se confirme ici, Norton étant le seul intérêt de Down in the valley. Le film commence comme un drame psychologique, et tisse une trame simple mais pas inintéressante : la jeune Tobe rencontre Harlan, jeune cowboy désoeuvré, qui va exercer sur elle une mauvaise influence. Quand Wade, le paternel, interdit à Harlan de revoir Tobe et son petit frère, les ennuis commencent. Du réchauffé, mais qui sait : parfois, un plat surgelé cuit au micro-ondes peut valoir tous les gueuletons de la Terre. Sauf qu'à force d'aligner les scènes prévisibles et trop longues, David Jacobson perd le spectateur. Mais outre Norton, la musique et les brusques changements d'ambiance sont des qualités qu'on ne peut retirer à Down in the valley, qui se termine comme un vrai western avec chevaux, shérif et chapeaux de cowboy. Trop peu pour en faire un bon film.
4/10

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"Bienvenue au royaume du pisse-froid inculte qui est au cinéma ce que Philippe Manoeuvre est au rock" (© Trollman)
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